Dans ce premier projet du cour de photographie d’architecture et de Paysage, je voulais révéler, mettre en lumière une vision de l’interaction qu’il peut exister entre l’homme et le paysage. Une interaction qui peut avoir son esthétique, je voulais montrer une intervention humaine comme un dessin fait sur le paysage sauvage, vierge. J’ai progressivement choisit de me concentrer sur le dessin fait par la route, par le chemin.

Durant ce projet, j’avais en tête certains travaux de l’artiste de land-art Richard long, qui créaient des formes, des dessins, avec des rochers ou simplement en marchant, imprimé dans le paysage pour un temps et immortalisée par la photographie. La notion d’éphémère très présente dans son travail ne peut bien sûr pas s’appliquer à la plupart des traces recensées dans ce projet.

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